vendredi 24 février 2012

L'amitié virtuelle !



-       -   "Je vois que tu ne réponds toujours pas à mes messages ! Rassures-toi, tu n'es pas le seul ; il faut que je me fasse à l'idée que, maintenant, les relations humaines sont ainsi !"

 Je n'ai pas l'habitude ; j'ai été élevée dans un milieu social modeste où j'ai appris le savoir-vivre et la politesse. Mais, souvent, je me demande pourquoi avoir tant développé les réseaux sociaux, les blogs, les messages instantanés si ce n'est pas pour s'en servir avec intelligence ?!

Suivre une chaîne, sois disant, "d'amitié" ne m'intéresse pas. Je pense que si nous nous trouvons sur ces supports c'est parce que nous avons envie de dire quelque chose, de partager des idées, des photos parfois et, ma foi, si nous n'avons rien à dire pendant quelques jours, pourquoi pas ! Il n'y a pas de honte à ça ! Je ne veux, surtout, pas être un "mouton de Panurge" !



J'aime écrire et la messagerie me permet de garder des contacts, de prendre des nouvelles et c'est, également, pour moi, un support pour "lancer" des invitations. Pas plus tard qu'il y a 1 mois, j'ai invité, par mail, une quinzaine d'amies pour venir assister à une réunion de vente à domicile de bougies parfumées et de décorations d'intérieures ; et bien, croyez-moi si vous le voulez mais, sur les 15 envois, 4 personnes m'ont répondu ! De ce fait, un peu hors de moi, j'ai lancé mon petit "coup de gueule" sur ma page d'un réseau social pour me libérer ; pas d'effet de retour mais un soulagement au fond de moi ! C'est tout de même un monde qu'à l'ère de l'informatique et avec les moyens ultra-rapides de communication, les humains ne sont pas capables de répondre par un "oui" ou par un "non" tout simplement ! Je ne demande pas d'explication particulière, ni de lire une dissertation !

Je suis d'une nature réservée et l'écriture me permet de m'extérioriser et de "parler" de mes idées, de mes goûts et de mes états d'âme aussi !  Les réseaux sociaux sont, pour moi, un tremplin entre la pensée, la communication orale et le blog. Je privilégie le blog pour parler longuement d'un sujet ; le réseau social permet d'écrire une simple phrase et d'attendre, éventuellement, une réaction de mes connaissances ; de pouvoir répondre à cette interaction et, au final, d'en faire une vraie discussion, un réel échange. Avoir 250 "amis" sur un réseau social ne sert à rien si ces "amis" ne sont pas présents de temps en temps. Certains sont là par voyeurisme, rien de plus !



L'Homme (avec un grand "H") vit à 100 à l'heure ! Il doit pouvoir réussir à se poser et à garder ses contacts s'il ne veut pas rester sans nouvelle de tous un beau jour car, l'Homme se lasse vite et perd patience !




vendredi 5 août 2011

Bienvenu chez nous !

Pendant nos vacances, pour la première fois, avec mon mari et mon fils, nous sommes allés dans des chambres d'hôtes. Mes parents connaissent le système depuis quelques années maintenant et après en avoir fait des éloges, nous avons voulu tester ce style d'accueil. Nous avons l'habitude de l'hôtel mais, ces dernières années, nous avons été déçus par la promiscuité des chambres pour 3 personnes, les petites salle-de-bains avec toilette (vraiment minuscules et peu pratiques) et par le prix exorbitant des petits déjeuners (9 euros en moyenne).
le moulin de la papeterie
Nous avons vu deux systèmes d'accueil différents, en chambre d'hôtes. Dans la première chambre, nous avons logé dans un vieux moulin (à papeterie) près de Niort. Nous avions, pour 3, une grande chambre, une salle-de-bains privée, de dimension correcte et un wc, séparé de la salle d'eau (bien pratique !).

chambre au moulin de la papeterie

salle-de-bains moulin de la papeterie
Nos hôtes étaient un couple d'une cinquantaine d'années, sympathiques et communicatifs ; ils étaient de bons conseils sur les lieux à visiter et les restaurants où nous pouvions nous attabler. Le moulin pouvait accueillir 5 familles (chambres d'hôtes ou gîte de vacances). Là où nous prenions le petit déjeuner, c'était, également, l'endroit où les vacanciers pouvaient se faire à manger ; il y avait un frigo, un micro-ondes et des boissons mis à la disposition des locataires.

Le premier matin, nous étions seuls à la grande table ; le second matin, nous avons fait la connaissance de 2 familles : Rouannaise et Espagnole ; le dernier matin, nos hôtes ont dû ajouter une petite table pour que nous puissions petit-déjeuner ; en effet, la grande table était complète (12 personnes) !
Les petits-déjeuners étaient copieux (jus de fruits, café, thé, chocolat, brioche vendéenne, pain frais, croissant frais, beurre et, au moins, 8 pots de confitures de différents fruits). Il faut savoir qu'en chambre d'hôtes, les repas du matin sont compris dans le tarif (nuit et petits-déjeuners !).
Avant de partir, le propriétaire nous a fait visiter le moulin (la roue) et les ruches dont il s'occupe ; c'était sympathique !


Domaine de la Duranderie
 Dans la seconde chambre d'hôtes, ce fut différent ! Pas dans le principe mais dans l'accueil ! C'était, disons : "comme à la maison" ! Nous avons été reçu par un couple de retraités (agriculteurs) ; tous les 2 avaient 70 ans. De leur maison, ils ont ouvert leur porte à des visiteurs, comme nous. Nous logions, à l'étage, dans une des chambres occupées, il y a des années, par un de leurs enfants (de dimension correcte).


chambre domaine la Duranderie

La salle-de-bains étaient sur le palier, ainsi que les toilettes. Nous partagions les sanitaires avec 2 autres chambres. Tout de même, nous disposions, dans la chambre, d'un lavabo nous permettant de faire nos ablutions !  La première nuit, nous étions 2 familles à l'étage (5 personnes) et la seconde, nous étions 3 (soit, 9 personnes !). Nous devions jongler entre nous pour aller aux toilettes, mais, rien de grave !

salle-de-bains domaine la Duranderie
Par contre, un accueil très chaleureux ; nous avons eu l'impression, tout de suite, de faire partie de la famille ! Prénoms et tutoiement de rigueur !

Le petit déjeuner était, également, copieux ; une jolie table était mise ! Et, surtout, nos hôtes mangeaient avec nous ! C'était le principe de la maison !

Le dernier soir, "Yolande", la maîtresse de maison, nous a proposé de partager le repas (c'est exceptionnel !) ; 3 autres familles ont accepté également. Nous avons pris l'apéritif avec un vin fait "maison" et une spécialité locale : baguette fourrée d'huile d'olive et d'ail (excellent !) ; des légumes du jardin (pommes-de-terre, carottes et haricots verts), cuisses de canard, du fromage et une tarte aux mirabelles (mirabellier qui vient de Lorraine !) ; le propriétaire "Daniel", nous a fait goûter un vin rosé qu'il fabrique (encore excellent !), d'autres vins étaient servis et... à volonté ! Le pousse-café était, aussi, proposé ! Tout cela pour 15 euros !
"Daniel", après le repas, nous a fait visiter sa cave, son atelier et son hangar à outils agricoles ; nous nous sommes couchés à 1 heure du matin ! Qu'est-ce qu'on était bien ! On était "les bienvenus chez eux" !

Ce fut une belle expérience ! Bien sûr, il faut aimer s'intégrer aux autres, parler, raconter un peu sa propre vie, comme le font nos hôtes avec grand plaisir et savoir !

dimanche 7 novembre 2010

MasterChef !

Voilà une nouvelle émission de télé réalité qui s'achève ! Une femme est sortie gagnante du concours de cuisine : "MASTERCHEF", diffusé sur TF1, tous les jeudis soirs, depuis 2 mois.




Je n'ai pas regardé les premières émissions (on va dire, le premier mois), par contre, depuis que je me suis intéressée à sa diffusion, j'ai vu une ressemblance avec le jeu Koh-Lanta (sur TF1), où les participants sont amenés à réaliser des épreuves difficiles dans un laps de temps assez court ; ici, par exemple, réaliser un plat en une heure, avec une boîte "mystère", dévoilée à la dernière seconde ; ou, reproduire, à l'identique, le dessert d'un grand pâtissier...

mousse de fraise sur un biscuit avec une croûte de sucre formant la verrine !


En cas d'échec, le candidat est soumis à un test "sous pression", où il doit, de nouveau, réaliser un plat connu, avec des ingrédients définis ; par exemple : la soupe Minestrone.



Une autre épreuve de sélection consistait à énoncer, avec exactitude, les ingrédients d'une recette ; par exemple : la Paella.



Ou, donner le nom exact de 20 sortes de fromages français. Le moins bon candidat était, là encore, soumis au test sous pression (sur 3 participants, jugés les moins bons, 1 était éliminé du jeu).

A la différence du Koh-Lanta, où se sont les candidats qui éliminent un adversaire, là, ce sont 3 personnalités connues du public (ou inconnues avant le jeu !). Il y avait Frédéric Anton : Chef cuisinier, meilleur ouvrier de France (né à Nancy en 1964 - un clin d'oeil aux Nancéens !), Yves Camdeborde : cuisinier dans le milieu brasserie-bistro et Sébastien Demorand : journaliste culinaire et critique gastronomique.

J'ai aimé cette émission qui, malgré le show, reflète bien la réalité de la vie en cuisine, où il faut être créatif, rapide et, surtout, bon cuisinier. Il faut, également, être, de nos jours, un excellent "décorateur d'assiettes" ! Car, un plat bien présenté ouvre l'appétit !

Risotto aux gambas
Fritto-mistro     
recette minceur aubergines cuisinées-homard
Le candidat qui dressait mal l'assiette pouvait être sanctionné, même si son plat était goûteux !

Je reviens à la ressemblance avec Koh-Lanta. En effet, l'émission est enregistrée plusieurs mois à l'avance (mai et juin pour Masterchef). Le vainqueur est gardé secret jusqu'à la dernière émission, diffusée en direct sur la chaîne. Le gagnant est le seul (les autres participants ne remportent rien), il empoche 100 000 euros, la publication de son livre de cuisine et un contrat de 6 mois de formation dans les cuisines d'un grand restaurant (la meilleure instruction possible dans le domaine !)

Anne, la gagnante de MasterChef 2010
Pour moi, le point négatif, dans le jeu, c'est la sévérité du jury envers certains candidats. Mais, heureusement, lors de la finale, une participante a révélé que les scènes étaient sélectionnées pour "le fun" ! Que le jury était sympa et de bons conseils pour tout le monde ! Ouf, ça rassure !

Pour ma part, tout de même, je ne pourrai pas participer à ce genre d'émission, où il y a beaucoup trop de pression et, surtout, où il faut préparer et cuisiner tout, tout, tout... C'est-à-dire, vider et découper de la viande (lapin, poulet, canard...) ou du poisson (carpe, sèche...beurk !) et décortiquer des fruits de mer (encore beurk !). 

tartare d'huîtres aux cuisses de grenouilles grillées

J'aime cuisiner mais je ne peux pas faire ces étapes de préparation, cela m'écoeure de trop ! Pour toutes ces raisons, même si j'aime être aux fourneaux, pour ma famille et mes amis, je ne suis pas une vraie cuisinière et je ne le serai jamais !




samedi 9 octobre 2010

Le sport et moi !

Entre nous, c'est une histoire d'amour qui s'est forgée au fur et à mesure des années et très tardivement.

A l'école, je détestais le sport quel qu'il soit : athlétisme, gymnastique et natation. J'étais gauche, maladroite et je craignais l'eau de la piscine ! J'avais de mauvais résultats. Certaines fois, je feignais, même, une douleur ou une maladie pour y échapper (si, si, j'avais souvent mal au ventre !).

C'est à l'âge de 24 ans, lorsque j'ai eu un emploi stable, que je me suis inscrite dans un club de fitness (avec le comité d'entreprise, de la société, le prix était attractif !) et, là, ce fut la révélation ! Malgré les douleurs musculaires des premiers cours, j'ai, tout de suite, apprécié les exercices et les mouvements ; je me suis sentie bien dans ma peau et ressourcée.

Cela fait 20 ans que je pratique le même sport. Je me suis arrêtée 5 ans (2000-2005), tout de même, pour incompatibilité d'horaires avec mon travail et pour faire mon bébé. Durant ce laps de temps, j'ai pratiqué l'aquagym pendant 2 ans (dont une année sur l'Ile de La Réunion) et, là encore, j'ai adhéré.

Depuis peu, je me suis mis au Zumba Fitness. Qu'est-ce que c'est, me direz-vous ? Et bien, ZUMBA signifie littéralement " le déplacement rapide et amusant" ; c'est un entraînement cardio-vasculaire et un aérobie balançant sur des musiques d'Amérique Latine, de Cuba (comme la salsa et la samba), entre autres.




Oui, bon, je suis toujours un peu raide et introvertie dans mes gestes mais cela me plaît.
Le sport est vital pour moi ; il me libère l'esprit et le corps ; il me permet de m'extérioriser et de chasser mes tentions nerveuses.

Non, non, je ne suis pas sur la photo (récupérée sur Internet) !

jeudi 7 octobre 2010

48 heures chrono !

Pour la 1ère fois, samedi soir, j'ai regardé un film loué, en téléchargement sur la télévision, via le décodeur. En un mot, c'est GÉNIAL !

Pour cette première diffusion, j'ai opté pour "Remember me", une comédie dramatique américaine, avec les acteurs principaux suivants : Robert Pattinson (Twilight), Pierce Brosnan (mon comédien préféré ! Dois-je vous le présenter ?!) et la mignonne Emilie De Ravin (Lost, les disparus).


L'histoire : Tyler (Robert Pattinson) est un jeune New-Yorkais de 22 ans en rébellion contre sa famille (surtout contre son père : Pierce Brosnan) et la société suite à un drame familial (le suicide de son frère aîné 4 ans plus tôt). Après une altercation avec un policier, il décide de se venger en séduisant la fille de celui-ci : Ally (Emilie De Ravin). Mais Ally se révèle être une jeune fille fragile et imprévisible dont il va tomber amoureux. Ce qui devait être une plaisanterie se transforme en une histoire qui les marquera à jamais...

L'intérêt de ce système de location, c'est de rester chez soi ; pas la peine de se déplacer pour louer un DVD ; pour moi, c'est tout l'intérêt car je suis à 10 km de la ville où se trouvent les boutiques de location.

L'inconvénient (peut-être) c'est la durée de la location : 48 heures et pas une minute de plus ! Aussi, il faut être sûr de regarder le film téléchargé dans les 2 jours. Le prix est, tout de même, attractif : 4,99 € pour les films récents et best-seller, 2,99 € / 1,99 € pour d'autres réalisations.

Alors, attention, top chrono et action !



Emilie de Ravin
Pierce Brosnan
Robert Pattinson

mercredi 29 septembre 2010

La petite souris n'éxiste plus !

Ça y est, N. sait, depuis hier, que la petite souris c'est moi ! C'est son meilleur copain qui lui a dit, en lui racontant sa propre histoire :

"Un soir, A. a perdu une dent et il a entendu sa Maman qui disait qu'elle n'avait pas de monnaie pour mettre sous l'oreiller !"

Au fond de moi, je suis bien heureuse que cette histoire imaginaire soit dévoilée car, j'ai toujours eu l'appréhension d'oublier de déposer la petite pièce, sous l'oreiller de mon fils, avant de me coucher, ou, que mon garçon se réveille à cet instant !

Mais, lorsque j'ai dit à N. que, maintenant, il n'aurait plus d'argent, étant donné qu'il ne croit plus en la petite souris, il n'a pas été d'accord, bien entendu !

mardi 21 septembre 2010

Kiri, kiri, kiri !

Il y a quelques jours, mon fils m'a demandé de faire des verrines comme au centre de loisirs ?! Je lui ai demandé que contenaient ces petits verres apéritifs ? Avec plaisir, il m'a donné la recette de fabrication et, aujourd'hui, j'ai acheté les ingrédients nécessaires à la réalisation : des gâteaux Tuc salées, du jambon blanc et du fromage Kiri.


Ingrédients pour la réalisation
 Ce soir, j'ai dit à mon fiston que j'avais acheté tout ce qu'il fallait pour faire la petite présentation de dégustation qu'il aimait ; il a voulu, pour le goûter, manger un Kiri et, du coup, j'en ai mangé un également ; un produit que je n'avais plus consommé depuis de longues années ! C'était frais, fondant et délicieux !

Vous souhaitez la recette, alors, la voici : dans une petite verrine, mettez des morceaux de gâteaux Tuc dans le fond, ajouter des morceaux de jambon blanc, coupés finement et, pour terminer, des morceaux de Kiri ; voilà, c'est très simple n'est-ce-pas et, apparemment, cela plaît beaucoup aux enfants (et, certainement, aussi, aux grands !).

3 verrines réalisées par les enfants
présentation finale



Et voici le résultat !
Goûtez et bon appétit !